Bienvenue aux nouveaux arrivants ! (Speedy, jazzy et jmb) !
Pour clôturer ce mois d'avril une petite histoire tout à fait véridique dont je ne peux résister à l'envie de la raconter, tellement elle me semble absurde...
Ceci est arrivé ce soir à mon épouse.
Celle-ci profitait de la fin de journée pour faire quelques courses dans une grande surface locale.
Ayant presque terminé, elle laisse son caddie 15 secondes pour aller chercher quelque chose dans un rayon.
Quand elle se retourne, plus de caddie...
Bon, elle ne s'affole pas en se disant que quelqu'un a dû le pousser un peu plus loin par inadvertance. Recherche dans les rayons alentour, rien...
En désespoir de cause, elle se dirige vers la caisse centrale dans le but de faire passer un appel à destination de la personne ayant commis une confusion afin de procéder à une restitution.
10 minutes se passent, rien...
Mue par une intuition, elle décide de remonter toutes les caisses en regardant le contenu des chariots des gens attendant pour payer.
Effectivement, attendant à une caisse, une dame très BCBG s'appuie sur un caddie dont mon épouse reconnaît immédiatement le contenu... Elle interpelle la dame en lui disant que de toute évidence elle s'est trompée. Réponse cinglante : « mais madame, il s'agit de mon caddie ». Si cela est vrai, mon épouse lui demande de détailler son contenu. Aucune réponse...
Mon épouse, sans regarder le caddie, détaille ses achats à la caissière qui comprend bien qu'il y a eu substitution...
Il a fallu que j'arrive au bout de plus de cinq décennies de vie pour voir une telle chose...
Que l'on vole un caddie déjà payé, même si je n'approuve pas, je comprends le mobile. Mais voler un caddie pour ensuite attendre et payer son contenu à la caisse, alors là...
Interrogé le responsable des caisses a affirmé que cela arrivait de temps en temps. Il s'agit de gens qui, soi-disant n'ont pas le courage de parcourir les rayons, et s'utilise donc un caddie quel qu'en soit le contenu...
J'en suis encore plié de rire...
J'aurais pu intituler cette histoire « quel est le comble de la paresse ? »